8 de Coupes

Le 8 de Coupes : Le choix du départ

Le 8 de Coupes marque un moment de transition, un choix parfois difficile mais nécessaire. Dans notre tarot inspiré de l’univers de Lewis Carroll, cette carte est illustrée par les jumeaux Bonnet Blanc et Blanc Bonnet qui s’éloignent, laissant derrière eux huit coupes soigneusement posées. Leur départ est empreint d’une étrange solennité : ce n’est ni une fuite, ni un abandon par lassitude, mais une décision réfléchie.

L’appel du changement

Le 8 de Coupes nous invite à reconnaître qu’un chapitre touche à sa fin. Les Jumeaux, connus pour leur esprit combatif et leur logique absurde, ont ici choisi de partir ensemble. Ce départ signifie-t-il une prise de conscience ? Une nécessité d’explorer de nouveaux horizons ? Quelle que soit la raison, leur dos tourné aux coupes montre une volonté d’aller de l’avant.

Un adieu aux illusions

Les huit coupes laissées derrière eux représentent tout ce qui a été construit, expérimenté et compris.

Pourtant, elles ne suffisent plus. Il y a parfois des moments dans la vie où l’on ressent un manque, une sensation d’inaccompli qui nous pousse à tout remettre en question. Cette carte nous rappelle qu’il est parfois nécessaire de quitter une situation, même confortable, pour poursuivre une quête plus profonde et plus authentique.

Faire confiance à l’inconnu

Les Jumeaux avancent sans se retourner, preuve de leur résolution. Le chemin devant eux est inconnu, mais ils ont foi en leur décision. C’est une carte qui nous encourage à écouter notre intuition et à ne pas craindre de nous éloigner d’un confort illusoire si nous sentons que quelque chose de plus grand nous attend ailleurs.

Si cette carte apparaît dans un tirage, elle peut suggérer qu’il est temps de lâcher prise sur une situation qui ne nous nourrit plus émotionnellement. Cela peut concerner une relation, un projet, une façon de penser. Le départ n’est pas une défaite, mais une ouverture vers quelque chose de nouveau, de plus aligné avec qui nous sommes réellement.

Le 8 de Coupes nous rappelle que parfois, partir, c’est grandir.


Commentaires

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *